Le blog de leblogdhenri.over-blog.com

Bonjour,

C'est encore un article du quotidien Sud-Ouest qui a attiré mon attention. Le titre à

la une "31,6 milliards sur le tapis vert". Il s'agit du montant des mises que les joueurs

ont dépensé l'an dernier en loto ou autres jeux similaires. Cet article m'a inspiré le

petit texte suivant. Bonne lecture.

Henri.

Addiction aux Jeux !

Ainsi les Français n’ont jamais autant joué,

C’est vrai, tous ces jeux sont tentants, il faut l’avouer.

Cocher des numéros, gratter à qui mieux mieux,

Ils paraissent tellement simples tous ces jeux.

Combien en rêvent en période de crise ?

Mais pour beaucoup, trop peu d’heureuses surprises.

L’an dernier, misés trente et un millions d’euros,

Mais combien auront tirés les bons numéros ?

S’il y a dans ce système là des gagnants,

C’est surtout les sociétés les organisant.

Cela va même jusqu’aux paris illégaux,

Dont beaucoup sont hélas des attrape nigauds.

Car rêver de faire fortune en jouant,

C'est certainement plus facile qu’en travaillant.

Cette addiction aux jeux parait inquiétante,

Elle est partout de plus en plus latente.

Et l’actualité sur les paris sportifs,

Nous laisse, là complètement dubitatifs.

L’intérêt des jeux d’argent, plus fort que jamais,

Voilà ce que l’on peut constater désormais.

Mais comment peut-on lutter contre l’addiction.

C’es vraiment pour tous une très grande question.

Henri LANDA (3 Octobre 2012)

Bonjour,

Aprés mon petit texte "Violences dans les collèges" certains ont pu penser que

je mettais en cause l'autorité des professeurs. Ils ont un métier trés difficile et ce

sont les temps qui ont changé. J'ai donc eu envie d'écrire un nouveau petit texte

et en même temps repasser celui quej'avais écrit avant à la gloire de mon professeur

de Français de mes jeunes années. Les voici tous les deux. Bonne leecture.

Henri.

Courage Messieurs les Professeurs !

En souvenir de mes années de collégien,

J’avais écrit des  enseignants,  le plus grand bien.

Le titre, « Merci monsieur le Professeur »

Comme le temps a changé, cela me fait peur.

Car depuis des années, la violence gagne,

Ceci à la ville comme à la campagne.

D’abord  tout simplement des incivilités,

Pour arriver même à des brutalités.

Des élèves qui insultent les professeurs

Et qui terminent quelquefois en agresseurs.

Enseignants, un métier que vous avez choisi,

Mais qui devient une véritable hérésie.

Des enfants qui n’ont plus aucune éducation,

Que pouvez vous faire alors dans ces conditions

Oui, c’est peut-être un problème de société,

Et vous êtes les premiers à le supporter.

Alors, et sans rêver à ces années passées,

Que de notre esprit on ne pourra effacer,

Espérons qu’il sera trouvé des solutions,

Vous permettant d’assurer votre protection.

Et surtout, courage messieurs les Professeurs,

Car vous êtes de l’avenir les bâtisseurs.

Henri LANDA (1^er. Octobre 2012)





Merci Monsieur le Professeur.     (Collège de TALENCE des années 40)

Nous étions bien jeunes au cours de ces années,

Nos professeurs nous paraissaient bien surannés.

Pourtant parmi ceux ci, un nous intéressait

C'etait bien sur notre professeur de Français.

Pour le langage il n'avait pas son pareil,

Parvenant toujours à nous tenir en éveil.

Avec lui finies les mornes récitations

Et place aux envolées de belles citations.

Tout n'était que répétition de théâtre

Pour ces pièces dont il nous faisait débattre.

Il nous apprit à aimer les grands classiques,

Tous ces textes à l'écriture magique,

De Victor Hugo à Joachim du Bellay

De tous ces auteurs il savait nous emballer.

Même, avec lui les fables de La Fontaine

N'étaient pas récitées comme des rangaines,

Mais jouées comme au théâtre, sur la scène

Où l'ensemble de la troupe se démène.

Un,  pour Le Cid joue le rôle de Don Diègue

Un autre jouant celui de Don Rodrigue.

Quelques vers par cœur encore nous connaissons

Et entre nous les déclamons à l'unisson.

Alors monsieur Dezerro, encore Merci

Pour tout ce que vous nous avez si bien appris.

Ces années là qui ne pourront pas revenir,

Soixante ans après nous en gardons souvenir.

Bonjour,

Depuis quelques temps les violences se  mutiplient dans les collèges et lycées

l'autorité des enseignants est remise en cause. Ils sont de plus en plus insultés

et même parfois frappés par des élèves. Ce problème grave qui semble prendre

de l'ampleur, m'a inspiré le petit texte suivant. Bonne lecture.

Henri.

Violences dans les Collèges !

Ces exemples de violences se multiplient,

Mais d’où a donc  pût venir cette anomalie.

Comment des enfants âgés de moins de quinze ans,

Peuvent-ils devenir alors aussi violents ?

Car il  faut du calme pour pouvoir travailler,

Pour y arriver il faudrait s’y employer.

Faudrait-il revoir la formation des professeurs,

Qui devront affronter les plus perturbateurs ?

Et peut-être multiplier les surveillants,

Qui contrôleraient ces élèves malveillants.

Le calme est indispensable dans les classes,

Et il faudra bien calmer les plus coriaces.

On nous dit, c'est un problème de société,

Un raisonnement difficile accepter.

Cette situation ne peut continuer,

Les parents aussi doivent y contribuer.

C’est un problème à  prendre à bras le corps,

Mais de tous les intervenants il faut l’accord.

C’est un gros travail pour tous les gouvernements,

Ils doivent s’y pencher prioritairement.

Notre jeunesse, c’est du pays, l’avenir

Problème vital dont il faut se souvenir.

Henri LANDA (28 Septembre 2012)

,

Bonjour,

En Alsace un tourisre parisien parti aux champignons dans la propriété de son hôte, à

Seltz (Bas-Rhin) s'est trouvé nez à nez avec un python de 2 ,50 m. de long. Ce fait divers 

plutôt curieux, m'a inspiré le ptit texre suivant. Bonne lecture.

Henri.

Un Python dans le Jardin !

En Alsace c’est en cherchant des champignons

Qu’il s’est trouvé nez à nez avec un python.

Ceci à « Seltz » dans le Bas Rhin,

Où il passait bien tranquillement son week end.

Derrière un rideau d’arbre il entendit un bruit,

Et s’approchant, il fût alors plus que surpris.

Voyant sortir de là, un énorme serpent ;

Aussitôt il prit la fuite, et décampant,

Il fila illico prévenir son hôte,

Afin que celui-ci prévienne sans faute,

Les pompiers pour qu’ils viennent chercher l’animal,

Avant qu’il ait eu le temps de faire du mal.

Ceux-ci se rendant sur place l’ont capturé,

Pour l’office qui devra le récupérer.

Comment ce serpent a-t-il pu arriver là,

Il est plutôt dans les forets de Kampala.

Son importation est interdite en France,

Il a été déposé par malfaisance.

Une enquête est en cours pour enfin découvrir,

Celui ou ceux, qui ici l’on l’on fait  atterrir.

Mais en attendant, le chercheur de champignons,

Tente de se remettre de ses émotions.

Henri LANDA (27 Septembre 2012)

Bonjour,

Le défi proposé par Hauteclaire pour les croqueurs de mots était assez mystèrieux: Il ou

elle a diparru, dans des circonstances étranges et mystèrieuses. L'histoire dit que ses jours

se sont arrétés. Le livre est fermé.

Pourtant vous avez retrouvé un document dans le fond du grenier un vieux document

poussiereux et maintenant, vous savez.

Vous savez qu'il n'a pas fini ses jours, comme il a été dit et que tout n'a pas été dit. et que

cette personne a vécu ailleurs dans le secret.

Il es temps de lever le voile, a vous de le faire ! Qu'est devenue cette personne ?

Voici donc en alexandrins le petit texte que ce sujet m'a inspiré. Bonne lecture.

Henri.

A l’Abordage, Défi N°. 86 !

C’était un oncle du genre sympathique,

Et pour nous un vrai héros emblématique.

On l’écoutait toujours avec un grand plaisir,

Lorsqu’il nous contait ses merveilleux souvenirs.

Ses histoires étaient toujours passionnantes,

Et pour nous gamins, elles étaient prenantes.

Très jeune il était arrivé d’Espagne,

Et avait toujours travaillé avec hargne.

Il avait une très bonne situation,

Et n’avait pour l’avenir pas d’appréhension.

Mais un jour il a complètement disparu,

Sans jamais rien dire à personne, qui l’eut cru ?

Une disparition vraiment incroyable,

Sans la moindre raison paraissant valable.

Ce n’est qu’après de nombreuses années passées,

Que le hasard nous fit découvrir son passé.

Dans un grenier une vielle photo jaunie,

Avec une lettre venue d’Amazonie.

C’est dans ce pays lointain qu’il s’était rendu,

Lorsque de Gironde, il avait disparu.

Nous avons appris qu’il avait changé de nom,

Sans jamais pouvoir en connaître les raisons.

Cela sera pour nous toujours un mystère,

Difficile d’en faire le commentaire.

Henri LANDA (24 Septembre 2012)